Distribution d'électricité
Ces données sont issues des relevés des compteurs fournis par les gestionnaires de réseau de distribution (voir détails méthodologiques).
La distribution ne doit pas être confondue à la consommation finale car il manque l'autoconsommation (notamment photovoltaïque) ou encore l'électricité du réseau des CFF.
L'autoconsommation estimée est disponible dans la table des données de production d'électricité.
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Production d'électricité
Ces données sont le résultat d'un traitement des données issues de l'organisme de certification des garanties d'origine Pronovo (voir détails méthodologiques). La production comprend une estimation de l'autoconsommation, informations disponibles dans la table des données.
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Distribution de gaz naturel
Ces données sont issues des relevés des compteurs fournis par les gestionnaires de réseau de distribution. Elles ne
comprennent pas les livraisons de gaz naturel hors-réseau, par exemple via des citernes remplies par transport routier.
L'exactitude des distinctions sectorielles ainsi que certaines variations interannuelles peuvent s'expliquer par la qualité des données fournies (voir détails méthodologiques).
La catégorie Indéfini correspond à une quantité qui n'a pas pu être catégorisée dans Ménages ou Hors-ménages.
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Besoins théoriques des bâtiments
Ces données illustrent la répartition des besoins énergétiques théoriques (et corrigés climatiquement) pour la chaleur des bâtiments, soit l'eau chaude sanitaire et chauffage des locaux. Ne sont pas compris la chaleur des procédés industriels et l'électricité pour un usage autre que calorifique. Pour plus d'informations, notamment sur les besoins optimisés, voir les détails méthodologiques. La qualité des données s'améliorant d'année en année, certaines ruptures sont inévitables et peuvent expliquer des évolutions contre-intuitives vis-à-vis de l'assainissement du parc immobilier. Pour cette raison, il est recommandé de n'utiliser que la dernière année disponible, et d'exploiter les années antérieures avec précaution uniquement lorsque nécessaire.
L'année affichée correspond à l'année la plus récente sélectionnée dans la barre latérale :
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Consommations théoriques des bâtiments
Ces données illustrent comment la consommation de différents agents énergétiques se répartit pour satisfaire les besoins en chaleur du bâtiment (chauffage et eau chaude sanitaire) selon l'usage ou l'affectation principale des bâtiments. La chaleur de procédés et l'électricité pour un usage autre que calorifique ne sont pas compris. Il s'agit d'estimations théoriques (et corrigées climatiquement) fondées sur des données empiriques. Les communes jouent notamment un rôle central pour garantir que les données reflètent bien la réalité des agents énergétiques en vigueur. La qualité des données s'améliorant d'année en année, certaines ruptures sont inévitables et peuvent expliquer des évolutions contre-intuitives vis-à-vis de l'assainissement du parc immobilier. Pour cette raison, il est recommandé de n'utiliser que la dernière année disponible, et d'exploiter les années antérieures avec précaution uniquement lorsque nécessaire.
L'année affichée correspond à l'année la plus récente sélectionnée dans la barre latérale :
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Autres informations des bâtiments
Ces données reflètent quelques estimations structurelles du parc immobilier chauffé de chaque commune. La qualité des données s'améliorant d'année en année, certaines ruptures sont inévitables et peuvent expliquer des évolutions contre-intuitives vis-à-vis de l'assainissement du parc immobilier.
Pour cette raison, il est recommandé de n'utiliser que la dernière année disponible, et d'exploiter les années antérieures avec précaution uniquement lorsque nécessaire.
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Subventions Programme bâtiments (vue par subventions)
Ces données illustrent le nombre annuel de bâtiments ayant fait l'objet d'une subvention payée, par type et année depuis 2017. Un bâtiment peut réapparaître plusieurs fois au fil des années s'il reçoit de nouvelles subventions il ne faut donc pas interpréter un bâtiment subventionné comme un bâtiment systématiquement nouvellement subventionné. Une vision cumulée par bâtiments subventionnés est disponible dans l'onglet adjacent.
Note : les données sont plus détaillées que celles affichées dans l'onglet Graphique.
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Subventions Programme bâtiments (vue du parc)
Ces données illustrent le nombre cumulé de bâtiments ayant reçu des subventions du Programme Bâtiment vaudois depuis 2017. Les données précédant 2017 ne sont pas inclues mais représentent une part négligeable des subventions versées jusqu'à aujourd'hui. L'état à la fin de chaque année est présenté, en cumulant les subventions des années précédentes. Le total des subventions versées d'une année ne peut donc pas être inférieur au total de l'année précédente. La SRE correspond à la surface de référence énergétique estimée des bâtiments ayant reçu une subvention. Pour simplifier, le terme 'chauffage renouvelable' englobe également les pompes à chaleur (PAC) et le chauffage à distance (CAD).
Les données sont davantage détaillées que pour les graphiques ce qui permet de discerner quel type de chauffage est subventionné avec la colonne Détail chauffage. La colonne Type de subvention permet de retrouver les données des graphiques.
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Part des voitures électriques
La part de voitures électriques dans le canton de Vaud mesure la proportion de voitures entièrement électriques (BEV)
parmi l'ensemble du parc. Cet indicateur suit l'évolution de la motorisation décarbonnée de la population vaudoise.
Géodonnées détaillées disponibles sur
cartostatdgmr.vd.ch
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Taux de motorisation
Le taux de motorisation mesure le nombre de voitures de tourisme pour 1’000 habitants. Cet indicateur reflète l’évolution du parc automobile des Vaudois.
Pour l'interprétation des données, une comparaison avec la moyenne cantonale ou avec des communes au profil similaire peut être réalisée.
Géodonnées détaillées disponibles sur
cartostatdgmr.vd.ch
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Qualité de desserte des transports publics
L'indice synthétique de la qualité de desserte de la population ou des emplois par les transports publics mesure la fréquence des transport situés respectivement à proximité du domicile ou du lieu de travail. Cet indice est exprimé en pourcentage : 100 % représentant une desserte optimale où l'ensemble des habitants ou des emplois se situent dans des zones très bien desservies.
Pour l'interprétation des données, une comparaison avec la moyenne cantonale ou avec des communes au profil similaire peut être réalisée.
Géodonnées détaillées disponibles sur
cartostatdgmr.vd.ch
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Surface de canopée urbaine
Cet indicateur permet de chiffrer la part d'espace couvert par une végétation arborée de plus de 3m de hauteur dans l’espace bâti. Une arborisation importante de l’espace bâti permet notamment de limiter les îlots de chaleur, d’améliorer la qualité de l’air et d’offrir à une multitude d’espèces un refuge et de la nourriture. Dans le contexte actuel de changement climatique et d’érosion de la biodiversité, il est donc primordial de renforcer la couverture canopée dans l’espace bâti. Pour l'interprétation des données, une comparaison avec la moyenne cantonale ou avec des communes au profil similaire peut être réalisée.
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Bâtiments exposés à des dangers naturels
L’indicateur du nombre de bâtiments exposé à des dangers naturels est obtenu par croisement spatial des données sur les bâtiments et celles sur les zones de dangers naturels. Les bâtiments sont sommés selon le degré de danger pour obtenir le nombre total par commune.
Géodonnées détaillées disponibles sur
cdn.vd.ch
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Pourquoi cette application ?
Le but du profil climatique est de faciliter la planification énergie et climat des territoires en diffusant des informations disponibles au niveau communal qui ne sont pas facilement accessibles autrement. Bien que dédié principalement aux communes, cet outil se veut accessible pour tout le monde. Les différentes visualisations, les options de téléchargement ainsi que la possibilité d'exporter un rapport automatisé permettent d'explorer les données et de les exporter facilement.
Collaborations
Le profil énergétique a été initialement développé par la DGE-DIREN en 2023. En 2024, l’OCDC a souhaité mettre à disposition des communes d’autres données et l’application est devenue le profil climatique dès janvier 2025. De ce fait, le point de contact pour la gestion de cette application est désormais l’OCDC qui collabore toujours étroitement avec la DIREN. D’autres services ont également participé à la valorisation des données comme DGE-Biodiv, DGE-UDN et la DGMR.
Sources des données
Chaque donnée est détaillée ci-dessous. Les différentes informations fournies par cette application reflètent au mieux la réalité avec les données disponibles. L'exactitude de ces informations ne peut être garantie. En cas d'incohérence de données, merci de prendre contact.
Détails méthodologiques : distribution d'électricité
Les données viennent des gestionnaires de réseau de distribution (GRD) actifs sur le canton de Vaud. Ceux-ci transmettent annuellement les données de consommation d'électricité pour chaque compteur desservi à la Direction de l'énergie du Canton de Vaud (DGE-DIREN).
La DGE-DIREN se charge de réceptionner, nettoyer et harmoniser les données de manière à pouvoir en faire des statistiques communales. Lorsque la période de distribution d'électricité ne correspond pas à une année civile, un lissage des données est appliqué afin d'obtenir des estimations pour chaque année civile.
Pour qu'une année puisse être disponible, il faut que l'ensemble des compteurs soient relevés par les GRD. En pratique cela implique d'attendre décembre de l'année suivante pour avoir les informations complètes d'une année donnée, car sur certaines zones de desserte le relevé se fait progressivement tout au long de l'année. Avec le développement des compteurs intelligents, un tel délai sera de moins en moins nécessaire.
La distribution ne correspond pas à la consommation finale d'électricité, car il manque l'autoconsommation pour laquelle les GRD n'ont pas d'informations. Une estimation de l'autoconsommation électrique est cependant disponible dans les données détaillées de production d'électricité. La consommation d'électricité des CFF n'est pas intégrée car elle fait partie d'un réseau électrique séparé propre aux CFF.
Descriptif des variables
Détails méthodologiques : production d'électricité
Les quantités d'électricité injectées dans le réseau sont fournies à la DGE-DIREN pour chaque installation de production d'électricité recensée par l'organisme fédéral de certification des garanties d'origine.
La DGE-DIREN se charge de réceptionner, nettoyer et harmoniser les données de manière à pouvoir en faire des statistiques communales. Des estimations concernant l'autoconsommation voire l'injection sont parfois nécessaires pour certains profils d'installation afin d'estimer au mieux la production d'électricité.
Les données sont généralement disponibles en juin pour l'année précédente.
L'autoconsommation pour les installations photovoltaïques est essentiellement estimée par la DGE-DIREN sur la base de la puissance électrique installée recensée et de la valeur d'injection. La production résulte donc d'une estimation de l'autoconsommation et de la valeur d'injection transmise par Pronovo. Certaines installations non enregistrées peuvent ne pas être incluses dans cette statistique. C'est le cas d'installations "plug & play" ou d'installations non annoncées. Néanmoins la grande majorité des installations sont comprises dans ces données.
Descriptif des variables
Détails méthodologiques : distribution de gaz naturel
Les données viennent des gestionnaires de réseau de distribution (GRD) actifs sur le canton de Vaud. Ceux-ci transmettent, annuellement à la Direction de l'énergie du Canton de Vaud (DGE-DIREN), les données de distribution du réseau de gaz naturel pour chaque compteur desservi, tous usages compris (chauffage à distance, etc.).
La DGE-DIREN se charge de réceptionner, nettoyer et harmoniser les données de manière à pouvoir en faire des statistiques communales. Lorsque la période de distribution de gaz ne correspond pas à une année civile, un lissage des données est appliqué afin d'obtenir des estimations pour chaque année civile. Lorsque possible selon les informations transmises, chaque distribution est sectorialisée selon si elle a lieu dans des ménages ou hors-ménages.
Pour qu'une année puisse être disponible, il faut que l'ensemble des compteurs soient relevés par les GRD. En pratique cela implique d'attendre décembre de l'année suivante pour avoir les informations complètes d'une année donnée, car sur certaines zones de desserte le relevé se fait progressivement tout au long de l'année. Pour le gaz, les prochaines enquêtes devraient permettre de récolter les données de l'année précédente (p.ex. 2024 disponible courant 2025).
Le lissage des données est imparfait car effectué au prorata du nombre de jours, sans correctif possible pour les températures (degrés-jours). Ainsi certaines variations interannuelles peuvent ne pas représenter précisément la réalité. Dans les données reçues, certains compteurs ont des valeurs négatives suite à des équilibrages du surplus de facturation des années précédentes. Pour cette raison il n'est pas exclu que certains secteurs de consommation d'une commune (résultant de la somme des compteurs de la commune) présentent une valeur de consommation négative. Les informations permettant de sectorialiser les quantités de gaz peuvent varier d'une année à l'autre en fonction de ce qui est transmis par les GRD. Pour cette raison, des variations significatives interannuelles des secteurs peuvent être observées.
Descriptif des variables
Détails méthodologiques : chaleur bâtiments
Les données communales sont le résultat d'agrégations de la modélisation énergétique de chaque bâtiment du canton via le registre énergétique des bâtiments vaudois (RegEner) géré par la DGE-DIREN. Pour chaque bâtiment, selon les informations disponibles relatives à l'affectation, à l'époque, à la présence de rénovations ou non ainsi qu'aux agents énergétiques recensés, une estimation théorique et climatiquement corrigée de la consommation est faite pour le chauffage et l'eau chaude sanitaire uniquement (la chaleur de procédés industriels n'est pas estimée). Ces estimations sont faites sur la base d'indices de besoins de chaleur qui sont construits sur des données empiriques de consommation de gaz et de chaleur à distance récoltées par la DGE-DIREN sur le territoire vaudois.
La DGE-DIREN crée le RegEner sur la base de plusieurs sources de données (registres fédéral et cantonal des bâtiments, CECB, Programme bâtiments, mensuration, etc.).
Les données sont mises à jour quelques mois après la fin d'une année civile. Des mises à jour d'ordre méthodologique peuvent avoir lieu plus fréquemment selon les améliorations méthodologiques apportées.
Il s'agit d'estimations théoriques : aucune donnée de consommation effective n'est transmise dans le RegEner. Pour cette raison, des variations importantes peuvent s'avérer entre la consommation estimée et la consommation effective d'un bâtiment. En effet, les caractéristiques générales d'un bâtiment (année de construction, année de rénovation, affectation, etc.) n'expliquent que partiellement la consommation : énormément d'autres facteurs non mesurables influencent la consommation réelle du bâtiment. La précision du RegEner réside donc surtout dans les données agrégées où les variations individuelles de bâtiments s'équilibrent. De nombreux bâtiments ne sont pas à jour dans le registre cantonal des bâtiments, dont la mise à jour incombe aux communes. Pour cette raison, il est connu que certains agents énergétiques comme le mazout sont surreprésentés. L'amélioration de la qualité des données énergétiques est un long processus auquel la DGE-DIREN travaille en partenariat avec d'autres services. Les émissions de gaz à effet de serre directes, qui concernent uniquement le gaz et le mazout, sont calculées à l'aide des facteurs de l'Office fédéral de l'environnemnet.
Descriptif des variables
Détails méthodologiques : subventions bâtiments
De la plateforme IWF utilisée pour la gestion des subventions du Programme bâtiments. Uniquement les subventions payées sont intégrées dans ces statistiques ; les demandes de subventions octroyées mais dont la réalisation des travaux n'ont pas été constatés, ne sont pas comprises. Plus de détails sur les subventions du Programme bâtiments vaudois.
La DGE-DIREN récupère les données du Programme bâtiments via une API. Elle procède ensuite au traitement et à la réalisation de statistiques communales.
Les données sont disponibles quelques mois après la fin d'une année civile.
Les mesures indirectes du Programme bâtiments ne sont pas intégrées dans ces statistiques. De très légères différences statistiques peuvent apparaître en comparaison des informations fournies directement par le Programme bâtiments car la méthode diffère. Il se peut également que des subventions ne puissent pas être rattachées à un bâtiment, et donc à une commune ce qui les exclut de ces statistiques. L'exemple ci-dessous permet de bien comprendre la différence entre la vue par travaux subventionnés, et la vue cumulée du parc subventionné.
Un bâtiment reçoit sa première subvention d'isolation partielle (M01) en 2018. En 2020, il en reçoit une nouvelle et reçoit également la subvention de bonus d'isolation (M01 + M14) car il atteint le seuil des 90% de surface conformément isolées. Cette même année, une pompe à chaleur est également installée avec la subvention M07.
Dans la vue par travaux subventionnés le bâtiment va se retrouver 1x en 2018 sous la catégorie dans la catégorie Isolation partielle, puis 2x en 2020 : 1x pour le couple M01/M14 sous la catégorie Isolation globale et 1x dans la catégorie Chauffage renouvelable. À noter également que lorsqu'une seule subvention d'isolation est remplie pour deux bâtiments adjacents (numéros EGID), on considère dans cette statistique que deux travaux distincts ont été réalisés.
Dans la vue vue cumulée du parc subventionné, le bâtiment ne peut pas se retrouver plus d'une fois par année : il figurera en 2018 ainsi qu'en 2019 dans la catégorie Isolation partielle, puis en 2020 il passera dans la catégorie Isolation globale + chauffage renouvelable.
Descriptif des variables
Détails méthodologiques : surface de canopée urbaine
La canopée est définie comme l'espace couvert par une végétation arborée de plus de 3m de hauteur. La hauteur de végétation est basée sur des images estivales traitées de manière uniforme sur l'ensemble du territoire national, en forêt et hors forêt. L'espace urbain est défini comme les surfaces bâties de la couche "Surfaces primaires" du produit VECTOR252 de swisstopo.
La localisation des arbres isolés est reprise de la couche "TLM_EINZELBAUM_GEBUESCH" du SwissTLM3D3 de 2016. La hauteur estimée de chaque arbre est calculée en croisant leur localisation avec le modèle de hauteur de végétation décrit plus haut.
Plus d'informations sur la méthode sont disponibles dans "Ginzler C., Hobi M. L. 2015: Countrywide stereo-image matching for updating digital surface models in the framework of the Swiss National Forest Inventory. Remote Sensing 7: 4343-4370"
Direction générale de l’environnement – Biodiversité et paysage
La mise à jour nécessite un important travail sur le terrain et une réflexion est en cours pour une mise à jour dans les prochaines années.
L'indicateur date de 2020. Les évolutions récentes ne sont pas prises en compte.
Détails méthodologiques : Bâtiments exposés à des dangers naturels
L’indicateur du nombre de bâtiments exposés à des dangers naturels est obtenu par croisement spatial des données sur les bâtiments et celles sur les zones de dangers naturels. Le nombre de bâtiments par degré de danger est additionné pour donner le nombre total par commune.
La couche « bâtiments » est un jeu de données qui synthétise les informations contenues dans le registre cantonal des bâtiments (RCB), la couche « emprise des bâtiments » tenue à jour par la Direction du cadastre et de la géoinformation, et les données statistiques sur la population STATPOP (OFS) et les emplois STATENT (Canton De Vaud). Les zones de dangers naturels sont reprises des cartes de dangers naturels et sont élaborées pour tous les dangers gravitaires (avalanches, inondations, laves torrentielles, chutes de pierre, éboulements, glissements de terrain et effondrements). L’indicateur peut être obtenu pour toutes les communes vaudoises depuis 2023.
L'unité des dangers naturels (UDN) à la Direction générale de l'environnement (DGE). Contact email : info.dn@vd.ch.
Une fois par année
Cet indicateur informe sur le nombre de bâtiments en zone de danger, mais ne prends pas en compte la taille de ces bâtiments, ni le nombre de personnes qui y résident ou y travaillent. Les bâtiments en zone de danger faible et en zone de danger résiduel ne sont pas inclus dans l'indicateur présenté ici.
Détails méthodologiques : part des voitures électriques
La part de voitures électriques dans le canton de Vaud mesure la proportion de voitures entièrement électriques (BEV) parmi l'ensemble du parc. Cet indicateur suit l'évolution de la motorisation décarbonnée de la population vaudoise. Les données proviennent de l'Office fédéral de la statistique (OFS) issues de la base de données du Service des automobiles et de la navigation (SAN).
La DGMR (Direction générale de la mobilité et des routes).
Source des données: https://cartostatdgmr.vd.ch/#c=indicator&i=carbu_ofs.part_elec&s=2023&view=map1
Elles sont mises à jour annuellement (janvier).
L'indicateur présente des limites notamment en raison des différences méthodologiques entre l'OFS et le SAN, qui peuvent entraîner des biais dans l'attribution des véhicules. A noter que les hybrides, rechargeables ou non, ne sont pas prises en compte comme des voitures électriques.
Détails méthodologiques : taux de motorisation
Le taux de motorisation mesure le nombre de voitures de tourisme pour 1’000 habitants. Il est calculé à partir de la population résidente au 31 décembre de l’année précédente (OFS) et des immatriculations de véhicules au 30 septembre (OFS/OFROU). Cet indicateur reflète l’évolution du parc automobile de la population vaudoise.
La DGMR (Direction générale de la mobilité et des routes). Source des données https://cartostatdgmr.vd.ch/#c=indicator&i=voitures.voit_1000hab&s=2023&view=map1
Elles sont mises à jour annuellement en janvier.
Le taux de motorisation reflète uniquement le nombre de voitures par habitant, sans indiquer leur usage. L'OFS recense les véhicules en fonction du domicile des détenteurs, tandis que le Service des automobiles et de la navigation (SAN) les attribue selon la plaque du véhicule indépendamment de l'adresse du propriétaire. Dans certaines communes, l'indicateur peut être biaisé par une population tenant compte de résidents temporaires (internat), ou d'un nombre de véhicules surnuméraires enregistrés par certaines sociétés à leur siège social.
Détails méthodologiques : qualité de desserte des transports publics
L'indice synthétique de la qualité de desserte de la population ou des emplois par les transports publics mesure la proximité et la fréquence des différentes classes d'arrêts de transport par rapport aux lieux de résidence ou de travail. Il est exprimé en pourcentage, avec 100 % représentant une desserte optimale où l'ensemble des habitants ou des emplois se situent dans des zones très bien desservies. Cet indicateur est influencé par deux facteurs principaux : l'amélioration de l'offre en transports publics (la densité des arrêts, la fréquence des lignes et leur type) et la localisation de la population ou emplois par rapport à ces arrêts.
Les données proviennent de la direction générale de la mobilité et des routes (DGMR) sur la base des données CFF (horaires GTFS) et de l'OFS (STATPOP, STATENT).
La DGMR (Direction générale de la mobilité et des routes).
Source des données: https://cartostatdgmr.vd.ch/#c=indicator&i=qdtp_pop.pop_qdtp_is&s=2024&view=map1
Elles sont mises à jour annuellement en automne.
L'indicateur ne prend pas en compte des variables comme les préférences individuelles des usagers ni l'utilisation réelle des transports, mais se concentre uniquement sur l'accessibilité physique et la qualité de l'offre.
Il existe des divergences méthodologiques avec d'autres indicateurs (comme celui de l'ARE, Office fédéral du développement territorial), ce qui rend les comparaisons difficiles. Par exemple, l'ARE (Office fédéral du développement territorial) ne propose pas d'indicateur synthétique et applique une méthodologie différente pour la classification des arrêts.
Technologie
Cette application est programmée avec le language R et la librairie {shiny} qui permet la création d'applications web interactives. L'architecture de l'application est construite à l'aide des librairies {golem} (ThinkR) et {bslib} (Posit PBC) et le contenu des visualisations par de multiples librairies issues notamment du {tidyverse} (Posit PBC). De plus amples demandes d'informations peuvent être adressées directement à l'e-mail de contact pecc@vd.ch .
Ce projet est sous licence open source GNU General Public Licence GPLv3.
Nouveautés
Mise à jour des données de subventions Programme bâtiments 2024
Mise à jour des données de chaleur des bâtiments 2024
Note : la DGE-DIREN a collaboré avec l’OFS fin 2023 pour mettre à jour les données d’agents énergétiques du RegBL, en remplaçant des chauffages mazout et électrique direct par des chauffages à gaz et CAD, grâce aux informations annuelles des réseaux gaz et CAD. Les données 2024 présentent ainsi un mix énergétique différent de 2023.
Mise à jour des données de chaleur des bâtiments 2022/2023 (alignement méthodologique aux données 2024)
Ajout des données de distribution d'électricité 2018-2021 (2022 à venir)
Ajout des données chaleur bâtiments 2023 (méthode 2024)
Mise à jour rétroactive des données chaleur bâtiments 2022 (méthode 2024)
Ajout des données chaleur bâtiments 2022 (méthode 2023)
Ajout des données de production d'électricité 2015-2022
DGE-DIREN @ 2025